• Sport très apprécié par la jeunesse à Thrükk, il nécessite, pour y jouer :

    • Un Binz (pattes attachées pour éviter qu'il ne s'enfuie en cours de partie)
    • Une batte de binz-bol (ou à défaut, un gourdin)
    • Un bol (idéalement de la taille du Binz)

     

    Le minimum requis de joueurs est de deux joueurs ; il n'y a pas de maximum. Il n'y a pas  non plus besoin d'être un nombre pair ou impair.
    Il existe de nombreuses variantes, mais le principe de base reste le même :

    1) - Les deux joueurs se tiennent face-à-face. L'un tient la batte, l'autre le bol. Le joueur qui a la batte doit envoyer le Binz voler dans les airs en direction de l'autre joueur.
    2) - Le joueur qui a le bol doit alors rattraper le Binz de façon à ce qu'il atterrisse dans le bol. Il n'a pas le droit de s'aider de ses mains. L'équipe gagne un point par Binz rattrapé.

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  • Les écrits anciens relatent, dans les premiers temps du monde de Thrükk, la présence d'un homme nommé Nobol, qui avait la particularité d'être poursuivi par une malchance inimaginable. Les biographes de l'époque affirment que cela serait dû à l'influence de la constellation du Jémal, qui aurait crié des jurons et des malédictions le soir de sa naissance. Nobol, pour compenser cette tare, bénéficiait d'un sens aigu du détail et d'un esprit très astucieux.

    Un beau jour, nous dit-on, il se promenait gentiment au bord d'une falaise, lorsqu'un piano lui tomba malencontreusement dessus. Il s'en sorti vivant mais toutes ses dents étaient cassées.
    Ne pouvant plus se nourrir d'aliments solides, la maman de Nobol eut alors l'idée de réduire pour lui des légumes en bouille et de les diluer avec de l'eau. Il faut cependant savoir qu'à cette période de l'Histoire, les récipients étaient tous aussi plats que le monde de Thrükk, et donc très inadaptés à recevoir un tel breuvage.
    Désireux de se nourrir, Nobol (qui pouvait tout de même parler), indiqua à sa maman d'évider en son centre une écorce de pamplemousse, et créa ainsi un nouvel objet, qu'il appellera plus tard d'après son nom : le bol (qui  sonnait mieux que le "nobol"). L'inventeur perfectionnera par la suite son œuvre afin de la réaliser dans un matériau qui ne rende pas la soupe sucrée, tel le bois ou la porcelaine décorée de petites fleurs.

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